Jules Verne nous aurait-il caché l’essentiel ?

Dans ce roman audacieux, l’auteur révolutionne le mythe du Capitaine Nemo, alias le Prince Dakkar, sur une idée incroyable : « Et si ce rebelle éblouissant, cet esprit indomptable, avait laissé derrière lui une descendance porteuse d’un projet fou ? »

Nous sommes en 1857. L’armée de la Compagnie des Indes laisse derrière elle un palais ravagé, une famille décimée, mais deux enfants miraculeusement vivants. Maximus et Zahramayana.

De cette catastrophe nait une trajectoire fulgurante. Maximus, animé par une rancœur qui lui ronge le cœur, traverse le monde et devient ingénieur. Lecteur admiratif de Jules Verne, il reconnait dans les pages du grand Jules l’origine même de son propre sang !

Des décennies plus tard, les deux survivants bâtissent un royaume clandestin dans les entrailles de la Redonda, quelque part entre rêve scientifique et revanche universelle. Une île-royaume dotée d’une technologie dont aucun gouvernement n’oserait imaginer l’existence.

En 2018, entre en scène une femme, Jeanne Thomas, aviatrice brillante mais usée par les drames, qui s’écrase près de la Redonda. Sa vie bascule dans une dimension qu’elle n’aurait jamais pu imaginer, changeant le destin de ce monde parallèle.

L’auteur orchestre un récit aux multiples strates, mélange d’aventures incroyables, de science exaltée et de vengeance internationale.

Une plongée haletante dans ce qui pourrait être l’autre face, secrète mais tout aussi explosive, des romans de Verne.

Une saga vertigineuse, qui commence là où l’œuvre originale s’arrêtait, et qui pose une question délicieuse : le Prince Dakkar était-il un génial justicier… ou le premier super-vilain de l’histoire ?

 

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